Réagir (1)EnvoyeriCalPartager

samedi 25 mars 2023 à 10h

Quand Macron montre les muscles,

L'Intersyndicale ne trouve rien de mieux que

d'appeler à une nouvelle « journée d'action ».

.

Autant essayer de

TUER UN ANE A COUPS DE FIGUES

.

De qui se moque- t-on ?

Depuis janvier, des centaines de milliers de personnes descendent dans la rue pour manifester leur colère contre l'ENSEMBLE de la politique de Macron …et non pas seulement contre la réforme des Retraites.

Ce n'est même plus de la colère, c'est une révolte profonde de tous ceux qui n'arrivent plus à joindre les deux bouts, à cause de la flambée des prix.

Cependant, depuis deux mois l'Intersyndicale nous ballade dans les rues de Nîmes, en ne parlant que des retraites, et en passant sous silence tout le reste, pourtant tout aussi grave.

.
.
La flambée des prix est l' URGENCE du moment !

Combattre cette hausse des prix vertigineuse, passe par l'élaboration d'un cahier de revendications, comprenant notamment : Le blocage des prix ; L'augmentation générale des salaires, des pensions, et des allocations ; L'échelle mobile (indexation des revenus sur l'inflation).

Combattre l'augmentation du coût de la vie est la préoccupation première de tout le monde, et pourtant rien de tel n'apparait sur les mots d'ordre syndicaux.

Combattre l'inflation, ne se fera pas par des « journées d'action » à répétition, qui n'impressionnent pas Macron, comme on l'a vu tout récemment encore.
.
.

Durcir la riposte !

Macron a été choisi par les banques et les milliardaires, pour conduire une politique de régression très anti-sociale.

Il n'a pas été élu démocratiquement comme il le prétend, mais a été mis au perchoir grâce aux milliards d' €uros que ses amis ont déversés dans sa campagne présidentielle. Il a surtout bénéficié d'un système électoral anti-démocratique.

Nous n'avons rien à attendre de lui. Nous devons tout lui imposer.

.
.
Non aux « journées d' action » à répétition !

Le 15 mars, Macron a une fois de plus montré les muscles, car il est là pour appliquer cette politique de régression sociale. Et il ira jusqu'au bout, car c'est la mission que les oligarques lui ont confiée.

Il n'y a donc rien à négocier avec lui, pas plus qu'avec les Parlementaires.

A présent, seul le blocage de l'économie (c'est à dire l'arrêt des profits) peut le faire reculer. C'est ce à quoi nous devons nous employer immédiatement, en ne reprenant pas le travail, jusqu'à ce qu'il cède.

.

OUI à la GREVE GENERALE

illimitée !

Source : message reçu le 18 mars 09h